. L'équitation de légèreté .

A la recherche de la 2° manière de Baucher

Plan du site     Présentation     Bibliographie     De la Légèreté     La Méthode     Préceptes     Essais vidéos     Contact     Liens      
Baucher     Kerbrech     Beudant     L'Hotte     Boisgilbert     Bouhet     Bacharach     Decarpentry     Bragance     Fillis     "Bironneau"      

            François Nicolas Guy Napoléon FAVEROT DE KERBRECH,  Baron, Général,

 

(24 février 1837 à Caudan (Morbihan) - - 1905)

                                                   

 

                                                         

 

 

Biographie

 

Carte de Visite 

 

 **********

 

 

 

 

Recommandations impératives du Général Faverot



 

* En dressage on veut toujours aller trop vite.

 

* Pour arriver promptement, ne pas se presser, mais assurer solidement chacun de ses pas.

 

* Demander souvent ; se contenter de peu ; récompenser beaucoup.

 

* Aller très lentement pour mener le dressage rapidement.

 

* La leçon doit être, pour le cheval comme pour le cavalier, un exercice salutaire,

un jeu instructif qui n'amène jamais la fatigue.

 

* Dès que la sueur apparaît, c'est que l'homme a dépassé la mesure.

 

 

 

 

 

 

Lecture et Téléchargement  de l'édition originale - Rothschild Éditeur - 1891 

 

 

         Extraits du " Dressage méthodique du cheval de selle "
 
 
           S'il est aisé d'épiloguer sur un traité d'équitation ou de dressage toujours ingrat à rédiger, on se rappellera que souvent la plus petite démonstration à cheval rendrait clair à l'instant ce qui paraît obscur par écrit, malgré de longues et minutieuses explications. ( p.8 ) 
 

Tout cheval de selle doit être rendu facile et
 agréable à monter, régulier dans ses allures, doux,
 franc et aussi brillant que le comporte son ensemble.
 ( p. 13 )
 
La recherche, la conservation de la légèreté, doit être la préoccupation constante du cavalier.
( p. 15 )

 

Extraits du " Dressage du cheval du dehors "

 

 

La légèreté bien comprise augmente l'impulsion.

( p. 171 )

 

Il en résulte ( de la légèreté ) un état d'équilibre tel que la plus petite action de jambe détermine, selon le cas,

 la progression ou l'accélération de l'allure.

 

L'animal est d'autant plus disposé à se porter en avant,

à s'actionner,

 que toute appréhension de la main a disparu

par ce seul fait qu'il goûte son mors,

 qu'il est vraiment léger. 

Rien ne s'oppose donc plus à sa franchise, et il gagne d'autant plus en impulsion que sa légèreté se complète

 et se confirme davantage.

( p. 172 )

 

*****************

                         

          Octobre 2010 : Une traduction inespérée par Michael Fletcher, via Xénophon Press pour cet ouvrage de référence :