La leçon de Beudant est “plus simple”... (préface de Vallerine 1927 - Edition 2005, par Patrice Franchet d’Espèrey, p 37) :
* Main pour sentir la bouche, puis jambes pour donner l’impulsion, puis main, puis jambes, et ainsi de suite jusqu’à ce que la légèreté se produise par le simple poids de l’une ou de l’autre rêne.*
Souvenirs Equestres, 1934, Voir :
Page 11, ligne 19 “Extérieur et Haute Ecole” : ...““ Tirez dessus, tapez dedans.” Et, en somme, après plus de trente-cinq ans d’études continuelles faites depuis, j’en arrive à croire fermement qu’il avait raison. Tout se résume à enseigner au cheval à obéir à la main et à se porter en avant sous l’action des jambes. Le reste est de la fantaisie.”
Page 18, ligne 27 “Extérieur et Haute Ecole” : “... en définitive, tout le dressage est dans ceci : éperons pour provoquer l’action, bridon pour diriger l’action qui produit le mouvement.”
Page 118, ligne 31 “Extérieur et Haute Ecole” : “... Pour y arriver il suffit de l’habituer à se porter en avant sous l’action des jambes, tout en restant léger à la main. Il répond alors de suite, si on ne le gêne pas, à toute demande bien faite.”
Ces règles présentées ne sont-elles pas les définitions de “la légèreté pour elle-même”
(préface de Vallerine par Patrice Franchet d’Espèrey, p 34)
De “main sans jambes, jambes sans main”
... L’étude de “main sans jambes, jambes sans main” m’a inculqué l’idée fixe incorrigible de propager ce principe par tous les moyens possibles, ...
Souvenirs Equestres, 1934
Etienne Beudant
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